L’ostéoporose a été diagnostiquée chez ma mère à la soixantaine, et ma grand-mère paternelle avait une bosse de sorcière. La maladie ne m’était donc pas inconnue. Mais je ne m’étais pas rendu compte que je pouvais aussi être concernée, jusqu’à ce qu’une amie me suggère de faire le test minute du risque d’ostéoporose sur frakturpraevention.ch.

Je ne pensais pas être à risque avant de faire le test. J’ai montré les résultats à mon médecin qui a immédiatement proposé de mesurer ma densité minérale osseuse.

C’était un examen assez simple, non invasif et parfaitement sans douleur. J’ai simplement dû rester allongée sans bouger pendant quelques minutes. Et j’ai reçu les résultats rapidement.

Ce fut un coup dur de découvrir que je souffrais d’ostéoporose et j’avais peur de ce que la maladie allait changer dans ma vie.

J’ai toujours su que mon mode de vie n’était pas très sain, mais je n’avais pas la motivation pour changer. Je n’aime pas cuisiner rien que pour moi, donc j’achète souvent des plats préparés. Et je prends toujours ma voiture, même si trouver un emplacement de parking prend plus de temps que faire le trajet à pied.

En plus du traitement médical, mon médecin m’a recommandé quelques changements radicaux. Pour soutenir mes os, j’ai introduit dans mon alimentation des fruits, des légumes et des suppléments de calcium et vitamine D. Et je me suis mise à l’activité physique, ce qui finalement n’était pas aussi pénible que je le pensais. Je pratique le taï-chi en groupe avec un professeur expérimenté une fois par semaine et je suis surprise de constater que cela me plaît beaucoup. Je fais également quelques exercices physiques que j’ai trouvés sur frakturpraevention.ch.

J’ai proposé à toute ma famille de faire le test.

Je mange plus sainement qu’avant et je suis même devenue plus sociable depuis que je prépare régulièrement des repas sains et copieux pour mes amis. Je congèle les restes que je mange un autre jour, quand je suis seule.